A Propos de moi

Qui suis-je ?

L’exercice n’est pas simple. Parler de soi.

Se demander ce que l’on va dire, quelles moments de notre vie nous voulons mettre en avant et quels aspects nous voulons taire.

Je vais essayer d’être la plus juste et la plus concise possible.

Mon enfance a été heureuse, malgré que j’étais différente de mes camarades. De par ma taille, mon poids et mes capacités. Je pouvais rester des heures à regarder les fourmis et parler aux nuages. J’étais sensible mais je me sentais comme « protégée » dans mon cocon.

La différence s’est d’autant plus accentuée au collège, puis au lycée. Pour pouvoir me sentir aimée et inclus dans cette société, il a fallu me couper de ces perceptions, revenir dans ce plan matériel. Cigarettes, alcool, drogue m’y ont aidés, seulement pour un temps..

© Sébastien Moutama

Malgré tout ça, à 24 ans j’étais devenue une adulte responsable. J’avais un emploi où je gagnais bien ma vie, un compagnon adorable et nous étions devenu propriétaire de notre maison.

Je partais en déplacement la semaine, mangeait au restau avec mes copines le week end et partait en vacances deux fois par an.

Une petite vie bien rangée sur papier.

Et pourtant, j’étais sans cesse énervée, jamais satisfaite et remettait toujours la faute sur les autres. Je ne m’aimais pas malgré ma perte de poids, et ne trouvait aucun sens à ma vie.

Un mal-être s’était installé et se développait chaque jour un peu plus, ne sachant comment le libérer.

Un jour, une annonce allait changer la donne. J’allais rencontrer une grande difficulté à enfanter, il fallait me mettre sous traitement le plus vite possible.

Mon couple n’a pas tenu le choc.

Ni mon corps.

Ni mon esprit.

Les mois qui ont suivis ont étés un calvaire. A cela s’est enchaîné un accident de voiture ou j’ai failli faire de la prison, une maladie qui a mené à une intervention, la vente de ma maison..

J’ai du démissionner de mon travail, ne trouvant plus la force de me lever.

Je me souviens, j’allais chez mon psychiatre et je lui demandais à chaque séance de m’interner. Je ne voulais plus être adulte, je ne voulais plus subir cette vie qui pour moi était un cauchemar. Je ne voyais pas le bout et je m’étais presque résignée que ma vie était désormais comme ça pour toujours.

Un jour une dame m’as accosté et m’as dit droit dans les yeux « je peux t’aider ».

J’ai fondu en larmes.

Ma guérison était en route.

Cette dame, praticienne en Reiki Usui m’a sauvée. Le mot peut paraître fort pour certains et pourtant, il est totalement adequat.

Elle a été mon ange.

En un an, j’ai retrouvée mon équilibre. Au bout de 18 mois, j’ai voulu m’initier pour aller plus loin dans ma guérison. Le Reiki est devenu ma philosophie de vie.

J’ai continué mon apprentissage à travers plusieurs formations qui m’ont permises d’aller encore plus loin dans ma guérison. Je souhaitais particulièrement équilibrer mon énergie féminine et libérer ma lignée familiale. Deux aspects, qui selon moi, sont importants voir primordiales dans un équilibre énergétique. Mon but ultime est de me comprendre chaque jour davantage.
Le Triangle d’Or, relié à la déesse Isis et le Cellrelease, méthode mondialement connue permettent de grandes libérations aussi bien physiques qu’émotionnelles et spirituelles. Ce sont des soins qui m’anime au plus profond de mon être et je suis ravie de vous les proposer.

La photographie m’a également aidée dans ma guérison. Je me suis acceptée, respectée, aimée grâce aux cliché capturés.
La chenille Amélie est devenue papillon.

Aujourd’hui, à travers plusieurs protocoles, je continue à travailler, libérer, comprendre mon être et mon âme. Je souhaite et continue de grandir chaque jour un peu plus.

C’est cocasse, petite je voulais être pédopsychiatre.

Aujourd’hui, j’accompagne les âmes qui un jour se sont perdues dans le tumulte de la vie.

Vous soutenir, vous rééquilibrer, vous libérer me nourrit au quotidien.

Votre bonheur et votre équilibre contribue au mien.

Mon enfant intérieure est heureuse.

Je suis ravie de faire ce petit bout de chemin à vos cotés.

Amélie Baldini